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 Réseaux sociaux

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Philae
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Philae


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MessageSujet: Réseaux sociaux   Réseaux sociaux Icon_minitimeMar 10 Fév - 23:50

Un peu long, mais très interessant...


Citation :
De nouveaux dangers pour nos enfants ?
L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent.


Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ?

Bonjour. Ces réseaux peuvent être des dangers pour les enfants à deux titres : ils peuvent être abordés par des prédateurs sexuels, et ils peuvent être victimes de harcèlement (injures, photos obscènes...) de la part d'autres mineurs. Cela étant, ces réseaux constituent des outils intéressants pour se faire des amis, garder le contact avec des connaissances qui déménagent en France ou dans le monde. De plus, l'utilisation de ces réseaux par des préadolescents ou des adolescents peut les former à l'utilisation d'outils dont ils vont avoir besoin dans leur future vie professionnelle. Par exemple, de plus en plus de cadres français utilisent des réseaux socioprofessionnels comme Linkedin ou Viadeo.




lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? selon quelle typologie ? et comment les en protéger ?

Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.
Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants.
Troisième danger : le vol d'identité numérique.
Quatrième danger : y passer trop de temps.

Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Il n'y a pas plus de risques de rencontrer un pédophile sur Internet qu'à la sortie de l'école, et il faut savoir que 95 % des enfants qui ont été victimes de violences sexuelles de la part d'un pédophile ont rencontré ce délinquant sexuel dans leur cercle familial, au sens large. Cela étant, le risque existe. On a vu par exemple que MySpace avait découvert sur son réseau la présence de 90 000 personnes ayant été précédemment jugées comme délinquants sexuels. Bien sûr, délinquant sexuel ne veut pas dire forcément pédophile. Et on ne sait pas exactement comment ces "délinquants sexuels" ont été recensés. En France, d'après les statistiques du ministère de la justice et les informations que m'a communiquées la brigade des mineurs à Paris, une quinzaine d'enfants par an seraient victimes de violences sexuelles de la part d'un pédophile après l'avoir rencontré sur Internet.

Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Certains se servent de ces outils de communication pour insulter leurs contacts ou pour leur envoyer des photos obscènes.

Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Le premier degré est le détournement de photo. Une photo récupérée sur un réseau social du style MySpace ou Facebook peut être modifiée, détournée à l'insu de son propriétaire. Le second degré est le vol pur et simple d'identité. Certains petits malins créent des profils à la place d'autres personnes et se font passer pour elles sur Internet.

Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo...), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Il est alors tentant pour un enfant d'y consacrer plus de temps qu'à la lecture, à ses devoirs... et surtout de se plonger dans ce genre d'activité au lieu de faire marcher son imagination.

Comment se protéger ?

La pédophilie : les réseaux sociaux du type Facebook permettent de préciser les règles de confidentialité de son profil. Par exemple, on peut empêcher toute personne qui ne fait pas partie de son réseau d'amis de vous envoyer un message.

Le harcèlement : il ne faut pas hésiter à faire comprendre à son interlocuteur qu'il a dépassé les limites lorsqu'il vous envoie des messages à répétition que l'on n'a pas sollicités. Et s'il n'obtempère pas, il ne faut pas hésiter à l'enlever de sa liste d'amis ("défacebooker").

Vol d'identité : il ne faut pas hésiter de temps en temps à rechercher son propre nom sur les moteurs de recherche pour voir les informations qui circulent sur soi sur Internet.

Le temps passé sur cette activité : là, c'est aux parents d'intervenir et de surveiller discrètement ce que font leurs enfants sur Internet. Pour cela, la meilleure solution reste encore d'installer l'ordinateur dans une pièce commune où la famille peut jeter un coup d'oeil sur ce qui se passe.

syspipe : Pour un adolescent qui se passionne pour l'informatique, doit-on l'inciter à aller dans la direction du Web social (s'il veut par exemple créer un forum ou un blog) ?

Oui, pourquoi pas ? Il faut cependant lui rappeler les règles de la "Nétiquette" : pas d'injures, pas de détournement de photos, on ne met pas de photos de mineurs — même si ce sont ses amis — sur son blog sans l'autorisation des parents de ces mineurs... Les parents doivent surveiller que le mineur ne met pas sur son forum ou sur son blog des informations qui permettraient de l'identifier et de le localiser. Les pédophiles sont malheureusement des personnes perverses très intelligentes, capables de beaucoup de patience pour approcher leurs proies. Quelques éléments d'information comme l'adresse d'un club de foot ou d'un club de judo fréquenté par l'enfant peuvent suffire à un prédateur sexuel pour retrouver la trace de celui-ci.

niort2009 : Comment surveiller ce que font nos enfants sur ces réseaux ?

Un conseil général : dialoguer avec ses enfants au sujet de leur activité sur Internet au sens large. Les prévenir des dangers de ces activités, leur expliquer les outils qui sont à leur disposition pour préserver leur vie privée sur les réseaux sociaux, comme je le disais précédemment. Il faut leur faire confiance, mais confiance ne veut pas dire absence de contrôle. Là encore, l'ordinateur, idéalement, doit être placé dans une pièce commune pour permettre aux parents de jeter un coup d'œil de temps en temps sur l'activité de leurs enfants. Si possible, il faut demander à son enfant de vous communiquer son identifiant et son mot de passe sur ces réseaux sociaux, et vérifier de temps en temps les informations qu'il y distille. J'ai cependant conscience qu'il est parfois difficile de demander ces éléments à son enfant, surtout lorsqu'il s'agit d'un adolescent. Si l'enfant refuse, il faut de temps en temps aller sur Facebook, taper le nom de son enfant et voir les informations qui sont accessibles à n'importe qui.

syspipe : Faut-il que l'enfant se "forge" sa propre expérience (mauvaise rencontre, sans aller jusqu'à des cas extrêmes) pour qu'il appréhende le danger d'un réseau social ?

Les dangers sont suffisamment nombreux sur Internet : malheureusement, il est fort probable qu'un enfant, au cours de sa vie de jeune internaute, rencontrera un jour un "problème". Personnellement, je ne suis pas partisan de le laisser partir seul à l'aventure sur le Web. Avant de laisser votre enfant aller seul à l'école, vous le mettez en garde contre les différents risques qu'il court, vous lui apprenez à traverser lorsque le petit bonhomme est vert et vous lui dites de ne pas accepter des bonbons des inconnus. Il faut avoir le même dialogue préventif avec son enfant dès qu'il désire aller sur Internet, et surtout lui dire que s'il rencontre quelque chose qui le choque, qu'il vienne vous en parler.



niort2009 : Faut-il s'inscrire soi-même sur ces réseaux, en exigeant de l'enfant d'être admis dans son cercle d'amis ?

L'enfant risque d'être gêné s'il a son père ou sa mère dans son réseau d'amis. Il faut le laisser vivre sa vie avec ses amis. C'est pour ça que, comme je le disais précédemment, le plus simple est d'ouvrir son propre compte Facebook ou MySpace et de vérifier les informations qui sont accessibles à un quidam qui n'est pas dans son cercle d'amis.

Pierre : Est-ce que le nombre d'enfants victimes de chantage, d'intimidation ou de harcèlement a augmenté suite à l'avènement des réseaux sociaux virtuels ?

Oui, mais on ne sait pas dans quelle proportion. Le programme européen Safer Internet Plus s'est penché sur la question, mais n'a pas encore publié de statistiques. J'ai pour ma part interrogé des hauts gradés des services de police français, sans obtenir pour l'instant de chiffres.

Sodoman : Quelle différence faites-vous entre les réseaux sociaux d'un coté et les communautés en ligne du style Xbox Live, Playstation Home ou Battle.net par exemple ?

Les réseaux sociaux peuvent être facilement surveillés par les parents, qui commencent à avoir conscience des problèmes qui peuvent y survenir. Les communautés en ligne que vous évoquez sont plus proches des systèmes de messagerie instantanée (dialogue en direct sans traces) et échappent presque totalement à tout contrôle parental. Autrement dit, tout ce que l'on fait sur les réseaux sociaux laisse plus ou moins une trace (qui peut être d'ailleurs consultée, éventuellement piratée, mais aussi, fort heureusement, plus facilement encadré par un membre de la famille de l'enfant). En revanche, sur les communautés en ligne du type de celles que vous évoquez, les outils de contrôle parental sont vraisemblablement insuffisants.

bedicou : Les bibliothèques et autres services publics, offrant un accès Web au public, filtrent déjà Internet. Quelle est la qualité des filtres utilisés ? S'ils sont suffisamment rassurants, pourquoi ne seraient-ils pas proposés au grand public sur l'ordinateur familial (au lieu des filtres standard des FAI... dont on ne sait pas grand-chose) ?


En ce qui concerne les filtres, on a l'habitude de dire que la moitié des parents savent que ces outils de protection existent et que, parmi eux, seule une autre petite moitié les ont installés. Autrement dit, il y a plus d'ordinateurs protégés contre les virus que d'enfants protégés contre les contenus inappropriés. Il est vrai que l'installation et le paramétrage de ces outils sont complexes. Il est également vrai que ces outils sont encore largement perfectibles. Certains fournisseurs d'accès à Internet ont investi dans des outils performants, d'autres dans des filtres beaucoup moins élaborés. Selon les tests officiels réalisés à la demande de la DIF (délégation interministérielle à la famille) et de la DUI (délégation aux usages de l'Internet), les meilleurs filtres fournis gratuitement par les FAI ne laissent passer, par exemple, que 5 à 10 % des contenus pornographiques. Si l'on n'est pas satisfait du filtre fourni par son FAI, il est possible d'installer soi-même des outils plus performants. La précaution de base est d'activer au maximum l'option "Safe search" (filtrer tous les contenus adultes) proposée par les moteurs de recherche comme Google et Yahoo!

dod : Peut-on avoir, à l'adolescence, le recul nécessaire sur le caractère privé ou public d'une information ? Peut-on mesurer l'étendue de l'audience d'une déclaration, l'irréversibilité de sa trace ?

Beaucoup d'adolescents croient que blogs, réseaux sociaux, voire forums de discussion, riment avec carnet intime. Ils n'ont pas conscience que ce sont des sites Internet accessibles à tout le monde, et pour très longtemps.

douglas : Internet n'est-il pas une fuite de la réalité, comme une drogue douce ?

Tous les pédopsychiatres que j'ai interviewés m'ont confirmé qu'à leur connaissance les enfants ne confondaient pas réalité et virtuel. Cela étant dit, à l'adolescence, les mineurs doutent beaucoup d'eux-mêmes, pour différentes raisons (entre autres parce que leur corps se transforme), et ils apprécient de pouvoir entrer en contact avec autrui sans se dévoiler. Les nouvelles technologies leur permettent ainsi de communiquer avec d'autres personnes sans, dans un premier temps, se dévoiler. Dans la plupart des cas, ces amitiés qui se nouent, par exemple sur des MMO (jeux en ligne massivement multijoueurs), donnent lieu à des rencontres dans la vie réelle.

Jean-Charles G. : Ne trouvez vous pas que les médias font une diabolisation de ces nouveaux réseaux de communication ? Et pensez-vous que les contrôles parentaux soient une solution à ces réseaux sociaux, où faut-il revenir à un rapport de confiance enfant-parents ?

Certains médias, effectivement, soulignent un peu trop facilement le côté noir des choses. Mon propos n'est pas de diaboliser les nouvelles technologies de façon générale, et en particulier les réseaux sociaux. A mon sens, les mineurs doivent avoir absolument accès à ces outils, qui feront demain partie de leur univers professionnel. Je souhaite juste attirer l'attention de tous les internautes et de leurs parents sur un certain nombre de dangers qui existent, pour que les uns et les autres puissent établir un dialogue constructif à ce sujet.

Valentin_Artaud : Pour vous, quel est le meilleur âge pour que l'enfant commence à naviguer seul sur Internet ?

Je vais vous donner un exemple tiré de ma vie personnelle. A 6 ans, notre aîné savait assez bien lire et écrire. En juin dernier, il a commencé à explorer tout seul Internet. Il a tapé des mots-clés liés à ses centres d'intérêt (baleine, dauphin...). Je ne l'ai pas empêché de continuer, mais j'ai activé les outils de filtrage dont je disposais et ma femme et moi avons limité sa durée d'utilisation à trente minutes par jour. Pour cela, nous avons activé l'outil de contrôle parental disponible sur notre ordinateur familial. Cela veut dire quoi ? Que ce n'est pas l'ordinateur qui se contrôle tout seul, que ce n'est pas notre enfant qui contrôle l'ordinateur, mais que ce sont papa et maman qui ont la main sur la machine.


Aher : J'ai lu un sommaire détaillé de votre livre. Visiblement vous connaissez très bien votre sujet, mais si j'étais ado j'aurais envie de brûler ce livre et son auteur : on dirait un outil fait exprès pour permettre aux parents de pourrir la vie virtuelle des ados. Qui êtes-vous pour vous permettre de transgresser ainsi un principe essentiel de la bonne entente dans les groupes humains, dont les familles : le principe du foutage de paix ?

Je vous remercie pour le compliment concernant ma parfaite connaissance du sujet. Le livre que j'ai écrit répond à toutes les questions que l'on me pose au cours des conférences que je donne un peu partout en France à la demande d'associations de parents d'élèves, de collectivités locales, de centres culturels, d'associations familiales. Beaucoup de parents se sentent incompétents dans le domaine des nouvelles technologies. Encore une fois, mon propos n'est pas de diaboliser les nouvelles technologies ni d'empêcher les jeunes ados fougueux, comme vous ;-), d'avoir accès à Internet ou au téléphone mobile. Mon propos est d'aider les parents à assumer leur autorité dans un domaine où ils ont encore du mal à le faire.

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MessageSujet: Re: Réseaux sociaux   Réseaux sociaux Icon_minitimeMer 18 Fév - 1:48

Citation :
Facebook : Tous les droits, pour toujours
Le réseau social a modifié ses conditions d’utilisations, s’arrogeant tous les droits sur les contenus personnels.


Décidément, pas une semaine ne passe sans qu’une nouvelle polémique ne vienne entacher le succès fulgurant de Facebook. Le réseau social, qui sort à peine d’une mini-polémique sur un nouveau système publicitaire jugé intrusif pour beaucoup, vient en effet de modifier ses conditions d’utilisation (terms of service). Et l’une de ces modifications discrètement apportées le 4 février dernier, s’avère bien plus contestable que n’importe quelle stratégie publicitaire.

Vous postez régulièrement des photos, articles, vidéos sur le site créé par Mark Zuckerberg ? Lisez donc attentivement le texte suivant : « vous accordez à Facebook le droit irrévocable, perpétuel, non-exclusif, transférable, transférable et mondiale (avec l’autorisation d’accorder une sous-licence) d’utiliser, copier, publier, diffuser, stocker, exécuter, transmettre, scanner, modifier, éditer, traduire, adapter, redistribuer n’importe quel contenu déposé sur le site ».

Aussi surprenant que cela puisse paraître, cette phrase a toujours fait partie des conditions d’utilisations. Seulement voilà, jusqu’au 4 février dernier, elle était suivie par : « votre contenu d’utilisateur peut être effacé du site à n’importe quel moment. Si vous l’effacez, la droit accordé à Facebook évoqué précédemment expirera automatiquement, mais notez que l’enterprise peut en conserver des copies archivées ». Cette dernière phrase est désormais absente des conditions.


Source



Citation :


Ayez confiance, Facebook ne veut que votre bien

Sur le blog officiel de la société, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, s’est défendu contre les critiques sur le contrôle des données des utilisateurs.



« quand un membre partage quelque chose, comme un message à un ami, deux copies de cette information sont créées – une dans le dossier messages envoyés, l’autre dans la boîte de réception du destinataire. Même si l’expéditeur supprime son compte, son ami continuera d’avoir une copie du message. Nous pensons que c’est la bonne manière de fonctionner pour Facebook, et c’est cohérent avec le fonctionnement d’autres services, comme les emails. »


Malgré tout, le flou et l’incertitude persiste, et même avec la clarification du big boss, s’inscrire au réseau social pour rejoindre ses 175 millions de membres revient à signer un chèque en blanc à la compagnie en matière de vie privée.

Le jeune Zuckerberg, 24 ans, semble à première vue plutôt ouvert à la critique : « Nous sommes arrivés à une étape intéressante de notre développement pour travailler sur ces notions de partage d’information. C’est un terrain épineux, et nous ferons des gaffes, mais en tant que premier service pour le partage d’information, nous prenons ces problèmes et notre responsabilité pour les résoudre très au sérieux, c’est un gros objectif pour nous cette année ».

Reste à savoir comment les utilisateurs de Facebook réagiront suite à cette déclaration. On imagine difficilement obtenir dans les prochains jours un chiffre fiable du nombre de désinscriptions au service. Certaines sont clairement et publiquement revendiquées par des membres repentis. Après l’écrivain Edward Champion, c’est Sasha Frere-Jones, journaliste pour The New Yorker, qui a décidé de virtuellement plier bagage de Facebook : « la réponse de Zuckerberg face à la protestation est juste une version moderne du fameux ’’ne lisez pas les petites lignes, signez-là, Madame’’ ».


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MessageSujet: Re: Réseaux sociaux   Réseaux sociaux Icon_minitimeSam 21 Fév - 14:58

De toute façon on sait très bien que Big Brother est partout sur le net. A savoir après : qu'est-ce qu'on veut cacher ?
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DéFY
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MessageSujet: Re: Réseaux sociaux   Réseaux sociaux Icon_minitimeDim 22 Fév - 2:21

ou qu'est ce qu'on peut cacher ?
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MessageSujet: Re: Réseaux sociaux   Réseaux sociaux Icon_minitime

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